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I. Mal au ventre - Découvrez les solutions naturelles :
Lourdeur d’estomac, difficulté de digestion, reflux gastrique, crampes, ballonnements, gazs, haleine chargée, fatigue…
Ces symptômes qui peuvent venir nous gâcher la vie.
Avec les années, nous découvrons les pouvoirs et secrets de plus en plus magiques du ventre, finalement ce centre de notre bien-être.
Comprendre comment il fonctionne nous permet de mieux cibler la cause de nos douleurs et d’agir dessus de manière efficace et durable.
Car les douleurs digestives ne sont pas normales ni une fatalité et il existe de nombreuses solutions naturelles et personnalisées.
Cet article nous invite à explorer notre santé digestive, à reconnaître les signaux que notre corps nous envoie, et à découvrir comment des solutions naturelles, simples et efficaces peuvent contribuer à notre bien-être quotidien.
II. Les fondements du système digestif :
Le système digestif est en effet un processus fascinant qui joue un rôle essentiel dans notre santé globale.
La digestion comprend six étapes :
L’ingestion : Lorsque nous mangeons des aliments. La nourriture est introduite dans la bouche, où elle est broyée et mélangée avec la salive.
La “propulsion mécanique” : Après la mastication, la nourriture se déplace de la bouche à l’estomac.
La digestion mécanique : Dans l’estomac, les aliments sont pétris et mélangés avec les sucs gastriques. L’estomac joue un rôle clé dans la décomposition des aliments en particules plus petites. Et nous en parlerons davantage ci-dessous.
La digestion chimique : L’intestin grêle est le lieu principal de la digestion chimique. Les enzymes décomposent les grosses molécules (protéines, glucides, lipides) en nutriments plus simples. C’est là que l’assimilation des aliments a lieu.
L’absorption : Les nutriments dégradés passent à travers la paroi de l’intestin grêle et entrent dans le sang ou le système lymphatique. Ils sont ensuite distribués dans tout le corps pour fournir de l’énergie et soutenir les fonctions vitales.
L’élimination : Les substances non digestives, telles que les fibres alimentaires et les déchets, sont éliminées du corps par le biais des selles.
Ce long voyage de la digestion commence donc par la bouche, qui joue un rôle crucial dans la préparation des aliments pour le reste du système digestif.
Elle est responsable de la mastication, de l’humidification des aliments avec la salive et de leur transformation en une bouillie appelée “bol alimentaire”.
Ensuite, ce bol alimentaire suit le long voyage à travers le système digestif, permettant à notre corps d’obtenir les nutriments essentiels dont il a besoin.
A. Premier acteur : La bouche :
La bouche joue un rôle essentiel dans le processus de digestion, et c’est effectivement là que tout commence et essentiellement grâce à la salive !
Mais qu’est-ce que la salive ?
Sa composition :
Ses fonctions :
Digestion des glucides : L’amylase salivaire commence à décomposer les glucides (sucres) dès que nous commençons à manger. Cela facilite la transformation de l’amidon en glucose.
Lubrification et humidification : La salive lubrifie la bouche, facilitant la déglutition et réduisant les frictions entre les muqueuses.
Stimulation gustative : La salive met en solution les composants des aliments, favorisant ainsi la perception du goût.
Protection antibactérienne : Les anticorps présents dans la salive ont un rôle antibactérien.
Alerte de déshydratation : Une diminution de la production de salive peut entraîner une sensation de soif, signalant la déshydratation.
En somme, la salive prépare les aliments à leur digestion, facilite la déglutition et contribue à notre bien-être général.
Les dents, elles, broient les aliments en morceaux plus petits, facilitant ainsi le travail de l’estomac et des intestins.
Les aliments, broyés, passent dans l’œsophage et le pharynx pour tendre vers leur objectif : nous apporter de l’énergie.
B. Deuxième acteur : l’estomac :
Après leur passage dans l’œsophage, les aliments atteignent l’estomac.
Ce dernier joue un rôle crucial dans la digestion.
Son objectif est de transformer les aliments en une bouillie appelée « chyme » en les remuant, les brassant et les pétrissant.
L’estomac est également responsable de la dégradation chimique des protéines.
Pour ce faire, il libère diverses substances, connues sous le nom de « sucs gastriques ». Voici les principaux composants de ces sucs :
Acide chlorhydrique : Présent en grande quantité, il aide à réduire la taille des portions alimentaires et à dénaturer les protéines. Il élimine également la plupart des bactéries.
Pepsinogène : Cette enzyme décompose les protéines en chaînes plus petites.
Lipases gastriques : Ces enzymes sont impliquées dans la digestion des graisses.
Facteurs intrinsèques : Parmi eux, une protéine permet l’absorption ultérieure de la vitamine B12, essentielle pour une énergie optimale, le système immunitaire et la production de globules rouges.
Hormones : L’histamine libère l’acide chlorhydrique, la sérotonine déclenche la contraction du muscle de l’estomac, la somatostatine agit comme un inhibiteur, et la gastrine envoie le signal de faim tout en favorisant la libération d’acide chlorhydrique et la motilité de l’estomac.
De plus, c’est dans l’estomac que commence l’assimilation de certains éléments tels que l’eau, certains minéraux, les acides gras à chaîne courte, l’alcool et les médicaments.
L’acide chlorhydrique et les reflux gastrique :
L’acide chlorhydrique, présent dans notre estomac, joue un rôle crucial dans la digestion et est étroitement lié aux brûlures d’estomac et aux reflux gastro-œsophagiens.
Cet acide a plusieurs fonction dans l’estomac :
Régulation du pH du suc gastrique : L’acide chlorhydrique aide à maintenir un pH optimal dans l’estomac, favorisant ainsi la digestion.
Action sur les enzymes digestives : Il prépare le terrain pour les enzymes digestives en décomposant les aliments en une bouillie appelée chyme.
Destruction des bactéries alimentaires : L’acidité tue les bactéries potentiellement nocives présentes dans les aliments.
Dégradation des protéines : L’acide chlorhydrique contribue à la dénaturation des protéines, facilitant leur digestion ultérieure.
Dissolution des enveloppes végétales : Il dissout partiellement les enveloppes des végétaux, libérant ainsi les nutriments.
Brûlures d’estomac et reflux gastro-œsophagiens, c’est quoi le lien ?
Les brûlures d’estomac sont caractérisées par une sensation d’irritation remontant de l’estomac vers la gorge. Elles touchent environ 30 % de la population adulte en France.
Les symptômes courants d’un déséquilibre d’acidité comprennent :
Des remontées acide
U toux chronique ou la gorge qui gratte au réveil
Une sensation de nœud dans la gorge
Un goût amer ou acide dans la bouche
Une sensation de brûlure dans la poitrine
Une lourdeur au niveau de l’estomac
Une lenteur au niveau de la digestion
Des nausées et une fatigue après les repas
Contrairement à la croyance populaire, les brûlures d’estomac sont souvent liées à un déficit en acidité gastrique plutôt qu’à un excès.
Plusieurs causes peuvent provoquer cette diminution :
Le stress (de plus en plus présent dans notre société, le stress diminue le tonus du sphincter de l’estomac, fragilise la parois gastrique…)
L’âge (l’acidité diminue avec l’âge)
Une perturbation de la thyroïde
Une alimentation inadaptée (qui vient perturber le microbiote, le pH gastrique, n’apporte pas les bons éléments pour le bon fonctionnement du système digestif, augmente l’inflammation de l’estomac…)
Un excès de consommation de produits acidifiants comme l’alcool, le tabac, les épices, la caféine, les agrumes…
L’obésité, qui provoque une pression sur l’estomac
La grossesse, même raison que pour l’obésité
Une pathologie de l’estomac
La présence de la bactérie pathogène Helicobacter pylori
Mais alors que faire pour retrouver un équilibre gastrique ?
Consultez un professionnel de la santé pour déterminer la cause exacte des remontées acides.
Des approches telles que :
Gérer son stress (méditation, cohérence cardiaque, écriture, équilibre personnel et professionnel, se supplémenter en bisglycinate de magnésium, s’aider avec des plantes adaptogènes, travailler avec un coach, un psychologue, pratiquer l’EMDR, l’hypnose, yoga…)
Faire attention à son sommeil
Adopter une alimentation équilibrée et ADAPTÉE et non pro-acidifiante/inflammatoire : surtout beaucoup de légumes, des céréales semi-complètes, des protéines maigres, des oméga-3 (petits poissons gras, huile de colza/cameline, noix, oeuf avec le jaune coulant…).
Travailler sur le système digestif en général (le nettoyer avec de l’argile, de la chlorophylle, du pollen, aloe vera… et le réparer avec de la L-glutamine, des enzymes…).
Faire de l’exercice (yoga, marche, vélo, basket, danse, tennis, exercices tibétains, course à pieds, handball, volley, musculation…)
Comprendre le rôle de l’acidité gastrique nous permet de mieux appréhender les problèmes digestifs et leurs implications sur notre santé globale (immunitaires, mentaux, hormonaux, de fertilité, migraines, troubles du sommeil, fatigue chronique…).
Maintenant, continuons notre voyage digestif vers l’intestin grêle, où la majorité des nutriments seront absorbés.
C. Troisième acteur : l’intestin grêle :
L’intestin grêle est véritablement le lieu où la magie opère !
C’est là que les vitamines, les minéraux et les autres nutriments passent de notre alimentation à notre corps, nous fournissant l’énergie nécessaire pour prendre soin de nos familles et mener une vie active et saine.
Il contient 3 parties :
Le duodénum : Cette première section reçoit les sécrétions biliaires et pancréatiques. Ces sécrétions sont essentielles pour la digestion ultérieure des aliments.
Le jéjunum : Le jéjunum est crucial pour l’absorption. Il possède une grande surface d’absorption et est tapissé de villosités qui ralentissent le passage du chyme (la bouillie alimentaire) et permettent une absorption complète des nutriments.
L’iléon : Dans cette partie, les villosités disparaissent, mais l’iléon joue un rôle important dans la protection immunitaire. On y trouve des plaques de Peyer, composées de cellules immunitaires qui protègent la circulation contre les bactéries. L’iléon est également responsable de l’absorption de la vitamine B12.
Il est crucial de noter que le jéjunum abrite un réseau dense de capillaires sanguins et lymphatiques dans ses villosités.
Cela permet aux nutriments d’être directement acheminés vers la circulation sanguine et lymphatique en fonction de leurs propriétés.
Les deux principales fonctions de l’intestin grêle sont :
La digestion du chyme alimentaire :
La bile participe à la digestion des graisses.
Le suc pancréatique contient des enzymes digestives qui dégradent les sucres, les protéines et les graisses pour une meilleure assimilation.
Le suc intestinal joue également un rôle dans la digestion.
L’absorption des nutriments :
L’intestin grêle absorbe une grande quantité d’eau.
Les glucides et les acides aminés (issus de la dégradation des protéines) sont absorbés dans la circulation sanguine au niveau de la paroi intestinale, puis transportés jusqu’au foie.
Les acides gras et les vitamines liposolubles sont également absorbés.
Mais que se passe-t-il ensuite avec les nutriments et autres éléments qui n’ont pas été digérés et absorbés ?
C’est là que le reste du système digestif entre en jeu pour éliminer ces déchets et maintenir notre équilibre interne.
D. Quatrième acteur : le gros intestin :
A ce moment la, dans le gros intestin, il reste tout un tas de déchets issus de la dégradation de la digestion et également des toxines du corps.
Le rôle du gros intestin est donc principalement de former les selles et de pousser les matières fécales pour les éliminer.
Mais pas seulement, il a aussi pour rôle de :
Réabsorber de l’eau pour concentrer les selles.
Abriter la flore intestinale qui digère une partie des fibres (ce qui créé de gazs), synthétise les vitamines B et K, et protéger le système immunitaire.
Permettre la putréfaction des protéines (dans le côlon gauche), ce qui peut provoquer des gazs odorants et la fermentation des glucides (dans le côlon droit), ce qui peut provoquer des gazs bruyants.
La dernière étape de la digestion est donc l’élimination grâce aux différents sphincters.
Mais pour que ces mécanismes fonctionnent correctement, il manque à l’appel deux acteurs principaux : le foie et le pancréas. Alors, c’est quoi leur rôle à eux ?
E. Et le foie dans tout ça ? :
Le foie, c’est le grand nettoyeur de l’organisme !
Sa mission est de filtrer le sang et d’éliminer les toxines.
Mais pas seulement, il va également :
Sécréter la bile, qui permet de digérer les graisses et éliminer les toxines. Elle est drainée par le foie jusqu’à la vésicule biliaire, où elle va être stockée et ensuite éjectée dans l’intestin.
Synthétiser les sucres (glycogène, glucose), les lipides (cholestérol, triglycérides) et les protéines (protéines plasmatiques).
Dépurer : l’alcool, les cellules sanguines, les toxines, les complexes immuns, les médicaments, l’ammoniac, les hormones, les bactéries...
Stocker les vitamines liposolubles comme le fer, le glycogène, la vitamine B12.
Contrairement à la vésicule biliaire, le foie ne possède pas de nerf.
C’est pour cela qu’on ne peut pas avoir mal au foie.
S’il est saturé ou épuisé, il va le montrer par : des céphalées, des hémorroïdes, la langue blanche, les selles grasses, des nausées, un teint jaune, une difficultés à digérer, des troubles du sommeil, une difficulté de concentration…
F. Le pancréas :
Le pancréas, lui, est une glande qui contient 2 parties :
Une partie endocrine, qui sécrète des hormones directement dans la circulation sanguine et qui représente 1%. Elle a pour mission de sécréter le glucagon et l’insuline, deux hormones impliquées dans le métabolisme des glucides et la régulation de la glycémie.
Une partie exocrine, qui sécrète des hormones par le biais d’un canal et qui représente 99%. Son rôle est de sécréter les sucs pancréatiques pour aider la digestion.
G. Le microbiote :
Le microbiote, situé dans l’intestin, est un ensemble de micro-organismes comprenant des champignons, des virus et des bactéries.
Il se crée dès la naissance avec le partage du microbiote de la mère à celui de l’enfant puis évolue en fonction de l’hygiène de vie de la personne (alimentation, sommeil, stress, activité physique, tabac, consommation de drogues…).
Ces micro-organismes sont étroitement liés les uns aux autres et jouent différents rôles essentiels dans notre organisme :
Assimilation de certains nutriments
Absorption et digestion des glucides
Fermentation des résidus non digestibles
Synthèse d’acides gras à courte chaîne
Synthèse des vitamines B et K et de certains acides aminés
Impact sur le système immunitaire : Les micro-organismes du microbiote forment un biofilm protecteur le long de la paroi intestinale. Ce biofilm empêche que tout ce que nous ingérons passe directement dans la circulation sanguine et lymphatique, préservant ainsi notre système immunitaire.
C’est d’ailleurs ce qu’il se passe lors de maladies auto-immunes par exemple : le microbiote laisse passer des éléments dans la circulation lymphatique, qui va devoir les éliminer.
Mais répété trop souvent, il va se fatiguer et finir par confondre les bons et les mauvais éléments et va s’attaquer aux bons éléments de notre organisme, comme les cellules de la thyroïde par exemple.
Malheureusement, dans notre société moderne, divers facteurs tels que le stress, le travail intense, la réduction du temps de repos et la dénaturation des aliments (moins riches en vitamines et minéraux) ont conduit à l’apparition croissante de troubles digestifs et d’autres pathologies associées, souvent lié à un déséquilibre du microbiote.
Cependant, la nature offre de nombreuses solutions pour rétablir l’équilibre dans notre vie, comme par exemple :
Avoir une alimentation anti-inflammatoire : légumes, tartare d’algues, ghee, œufs, avocat, antioxydants, oméga-3…
Consommer des aliments lacto-fermentés : légumes lacto-fermentés, tofu, kombucha, olives, pain au levain, choucroute, fromage…
Favoriser la consommation de prébiotiques : banane, oignon, ail, poireau, céréales complètes…
Limiter la prise d’antibiotiques.
Des épices et herbes : gingembre, curcuma, cumin, romarin, thym, mélisse, origan…
Limiter l’alcool.
Consommer des bons gras : petits poissons gras, graines de lin, de chia, noix, huile d’olive/ghee pour la cuisson, huile de colza/cameline pour les plats froids, avocat, huile de calanus/krill, œufs…
En écoutant notre corps, en ralentissant et en faisant confiance à la nature, notre système digestif peut progressivement se rééquilibrer, nous permettant de retrouver pleine énergie et joie de vivre !
III. Mal au ventre - Découvrez les solutions naturelles :
Lorsque nous souffrons de douleurs digestives, il n’est pas toujours évident de savoir comment réagir.
Cependant, il est important de comprendre que chaque douleur pour agir sur la cause profonde du problème.
Heureusement, il existe de nombreuses solutions naturelles qui peuvent apporter un soulagement significatif.
Comme les ajustements alimentaires, l’utilisation de plantes médicinales, la gestion du stress, l’exercice physique ou encore la maîtrise de nos émotions…
Mal au ventre - Découvrez les solutions naturelles qui existent et qui pourront durablement vous soulager.
A. L’alimentation dans la santé digestive :
L’alimentation joue un rôle essentiel dans la santé de notre système digestif, comme j’ai pu en parler régulièrement dans cet article.
Une assiette riche en fruits, légumes, légumineuses, céréales complètes, bonnes graisses (comme les omégas-3 avec les petits poissons gras, les oléagineux, l’huile de cameline/colza, les œufs…) et protéines maigres (oeufs, poissons, viande blanche, légumineuses + protéines) est le fondement d’une digestion harmonieuse.
Ces aliments, riches en fibres, en vitamines et en minéraux, sont les alliés de notre microbiote intestinal, cette communauté de micro-organismes qui travaille sans relâche pour notre bien-être.
Mais également les super-aliments comme la spiruline, les produits de la ruche (miel, pollen, propolis, gelée royale, les baies, les algues, graines germées, épices et aromates, oléagineux, germe de blé…).
Une alimentation adaptée transforme notre santé digestive et nous pouvons voir apparaître une évolution très rapide des troubles digestifs en améliorant son hygiène de vie.
En réduisant la consommation d’aliments transformés et en privilégiant les produits locaux et frais, nous pouvons prévenir de nombreux désagréments tels que les ballonnements, les brûlures d’estomac et les inconforts intestinaux.
Et de nous offrir un modèle de vie adapté à nos besoins et les fondations d’une santé équilibrée et durable.
B. La gestion du stress :
Le stress vient fragiliser le sphincter de l’estomac et favorise la remontée de l’acidité gastrique dans l’œsophage.
De plus, le stress rend également l’œsophage plus sensible à l’acidité gastrique.
Il est alors primordial de prendre soin de son stress et de retrouver apaisement et calme.
En naturopathie, nous utilisons la cohérence cardiaque, les techniques de respiration, la méditation, les réorientations vers des prises en charge psychologiques (et leurs techniques comme l’EMDR, hypnose…), mais aussi des compléments comme le magnésium.
C. L’activité physique :
L’activité physique permet une meilleure motilité digestive, ce qui améliore la santé digestive et réduit les risques de brûlure.
De plus, cela permet de garder un poids adapté et de limiter la pression abdominale causée par le surpoids.
Là encore, il est intéressant de choisir une activité qui nous convienne à nous : de la marche, du yoga, de la natation, du basket, de la course à pied, de la danse, de l’équitation, du vélo, des exercices tibétains, de la corde à sauter, de la boxe…
L’important est de trouver une activité qui nous plaise et adaptée à notre quotidien, pour la maintenir dans la durée.
D. La gestion des émotions :
Des pratiques telles que l’écriture expressive, la méditation, l’aide d’un psychologue, l’expression de ses émotions et le soutien social peuvent aider à maintenir un équilibre émotionnel et digestif.
Ils offrent des solutions positives et durables, permettant à chacun de prendre soin de sa santé digestive et de celle de ses proches.
Découvrez dans cet article le lien entre l'hypersensibilité émotionnelle et digestive.
E. Le sommeil :
Nous connaissons tous la nécessité d’un bon sommeil sur toutes les fonctions de notre organisme : récupération, stress, système immunitaire, mémoire, régulation de l’humeur, pour ne citer que ceux-là.
Il va donc avoir un grand rôle dans la gestion de la digestion.
IV. Mal au ventre - Solutions Naturelles : Conclusion :
La santé digestive constitue véritablement le point de départ d’une bonne santé globale.
Prendre soin de notre système digestif est essentiel pour exploiter pleinement notre potentiel et notre énergie.
Lorsque nous ressentons des symptômes, il s’agit simplement d’un message de notre corps, nous invitant à ralentir et à rééquilibrer notre hygiène de vie.
En adoptant un mode de vie équilibré, sain et en intégrant des plantes, des aliments bruts, des techniques de relaxation et de gestion du stress, ainsi qu’une activité physique adaptée, nous optimisons notre santé globale.
Il existe des solutions pour chaque situation.
N’hésitez pas à consulter un professionnel de la santé ou à utiliser des remèdes naturels pour vous soutenir dans votre quête d’une santé optimale.
Si vous avez des questions ou souhaitez discuter de votre situation spécifique, n'hésitez pas à me retrouver en prenant rdv ici (appel téléphonique gratuit ou première consultation de naturopathie) !
Prenez soin de vous, écoutez votre corps et n'oubliez pas que vous méritez d'être en bonne santé et de vivre la vie la plus épanouissante que vous désirez.
Avec bienveillance.
Camille, infirmière et naturopathe spécialisée dans la santé hormonale des femmes et votre alliée pour une meilleure santé 🌿
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